Le Contemporain (1)

Assez simple et petit, se sont désormais les plus vieux des enfants qui y travaillent,

Nath entra soutenant, la nouvelle venue, tous firent comme si de rien était puisse qu'ils savaient.

- on vient ramasser le plateau pour monsieur Hens.

un jeune homme avec une énorme cicatrice au visage leur montra un plateau mieux remplie que ce qui était en préparation. Le bénévole le prit d'une main.

Sous l'escalier, se trouve un lit de camps et quelques vêtements, c'est la chambre qui est offert au bénévole pour ses services dans l'orphelinat.


Après avoir laisser Alexandra dormir, il alla faire de même. Il savait qu'elle voudrait fuir, mais il ne pourrait rien pour elle, sauf la récuper et la ramener, à moins que Hens préfère les flics, ça lui arrivait parfois.
Il se coucha sentant encore le viole qu'il avait subit, mais il ne gémit pas comme quand il était enfant. Il supportait désormais plus facilement ce genre de chose.
Le lendemain quand il se réveilla se fut pas un déclic, puis la voix de Hens attravers tout l'établissement.

- Ce matin pour déjeuner je veux ... un volontaire!

Mieux valait que quelqu'un se désigne de lui-même au risque de mettre le maîtres des lieux en colère. alors il se leva et mit d'autres vêtements avant de sortir et de se rendre aux cuisines.

Nathaniel entra dans les cuisines alors que le premier enfant entrait également. Tout le monde était réveiller de la même façon, chacun se regardait qui cela allait être, le plateau était déjà prêt.

- Donne moi le plateau tu veux. dit-il à la cuisinière, celle-ci soupira puis en tremblant le lui remit, lui il ne tremblait plus.

Il se rendit au bureau de son chef avec à la main son déjeuner.

--> suite bureau de Hens

Hens souriait mais en voyant entrer ce vourien, il fut déçu. Alors il ne voulu pas jouer avec lui. Après qu'il se soit désabillé, il lui ordonna de l'attendre dans la salle de jeux, alors le jeune homme entra dans la petite pièce et attendit debout que Hens entre. Ce dernier s'installa à son bureau et prit soin de manger son repas avant de faire venir à son bureau un autre enfant, celui-ci était presque blême, mais il ramassa le plateau et s'en sortit avec juste un baiser et une caresse. Puis après que la porte ce soit refermer, il entra dans la petite pièce.

- Comme ça tu te crois drôle en plus!

Il prit le fouet et fit claquer la lanière de cuire sur sa peau, laissant des marque rouge tout juste visible à l'éclairage, le torse, le dos, les bras quand il finit par vouloir se protéger.

- Baisse moi ses bras!

Les coups pleuvaient, il perdit l'équilibre, mais ne fit que fermer les yeux sentant parfois le cuire lui érrafler le visage. Finalement, après une trenteine de coups tout s'arrêta.

- La prochaine fois laisse les morveux venir à moi.

Ainsi avait-il son congé. Nathaniel se leva mais il avait pas fini avec lui.

- Et tu vas en choisir un pour qu'il me rejoine ici est-ce que c'est claire?