[Château de l'ennemis] ~ Salle du trône

C'est ainsi que Xavier entreprit de se rendre chez son voisin pour parlementer. On l'introduit dans la salle du trône, puis ce dernier commencer ouvertement.

- Sir, il semblerait selon les comtes que vous n'avez pas payé vos redevaces... aucune femme de votre royaume ne nous a été envoyé.

- Fort bien alors, qu'on me les montre pour que je choisisse.

Il divisagea avec sérieux son interlocutrice alors que la seconde précédente il était près à sonner la guerre et à prendre son épée pour trancher la tête du rustre qui servait ici de roi.

Il les regarda en soupirant alors qu'il s'approcha pour faire lever le menton de l'une d'elle. Ses yuex n'exprimait rien, sans doute juste une soumission total et une lassitude. Il cherchait autre chose. Le goût de la vie. Mais elles avaient toute le même défaut à son plus grand désapointement. Il se détourna donc d'elles pour regarder la princesse celle qui semblait d'avantage diriger.

- auriez vous quelque chose de qualité. Je ne désire pas un pantin. je veux une femme prête à servir, mais qui est encore pleine de vie!

Votre obligence.

Il la regarda, puis ajouta.

même les femmes qui me servent son heureuse alors pour quelle raison votre peuple se meurt-il de l'intérieur, princesse.

il se retint de l'aggriper pour son affront.

- je vous prirai mademoiselle de montrer une meilleur éducation, vos affront ne me plaise guère.

puis il se tourna vers le roi, et exigea le tribut ou alors cela serai une guerre ouverte entre leur deux royaume

le chevalier fut très en colère.

- je ne tiens pas à avoir des femmes qui n'ont aucun désir. par conséquent, c'est un affront, et donc je vais y répondre

ce ne sont pas tous vos femmes, sinon vous êtes un souverain bien pauvre

il eut un sourire condinsendant.

- peut-être bien, que ces femmes seront plus heureuse de me servir

[b]le roi fit appel au vieille femme et ceux-ci regarda le Chevalier comme si il serait leurs sauveur. Nymphalis elle n'avait pas bouger de sa place. Au lieux de venir se joindre au femme elle partie pour aller s'enfermer dans sa chambre

celle-ci par contre, semblait bien plus heureuse de le voir, il leur souris avec beaucoup de douceur, puis tentis la main à celle lui semblait la plus sereine. il laissa sortir la princesse même si cela passait proche de l'insulte

Ce n'est pas tout ce que je désire que je prend, seulement, l'une d'elle, mon élue.

puis avec grâce il salua toute les femmes et conduits la dame qui frétillait de bonheur mais aussi de crainte.

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