Le Contemporain (1)

Avec un sourire, il se pencha sur elle et lui dit la bouche contre l'oreille: ne me tente pas trop dale pute. Dans le pire des cas, je n'aurais qu'à dire que ton refus et ma confiance en toi m'aura empêcher de t'amener àl'hopital et que ainsi tu es morte de ses coups. Meurtre, tu ne veux pas savoir c'est quoi qui va lui arriver.
Pui il se redressa et lui pinça la pointe des seins avec force. Il était presque assis sur elle, ainsi elle ne pouvait que se tordre sous lui et gémir.

Désolé tu t'es refusée tout à l'heure et tu la condamnée comme je te l'avais dit. Puis il lui emprisonna les poignets dans ses grandes mains, et la tira vers lui pour que leur visage soit proche l'un de l'autre.

Quand il avait remarquer l'absence d'alexandra, il avait remi son jeans et était partir à sa recherche, tombant ainsi sur deux angents de la police. il se doutait bien qu'Hens leur avait comté un mensonge, mais avant qu'il ne puisse ouvrir la bouche, l'un d'eux le saisit, alors que le deuxième prenant sa matraque se mit à le frapper violemment. Finalement quand il n'eut plsu de force, on le menotta et l'amena au poste de police.

- Il refusait de se rendre, il a même blessé Jean

en fait c'était la matraque qui avait fait ça tant il avait envoyé des coups à la voler. Un signe disant que c'était sans importance la raison de pourquoi le jeune homme était dans cette état. On le mit alors dans une pièce fermé et alors commença l'intérrogation.

- Tu es qu'un seul merdeux, un bon à rien, à chien et un salaud. Ce que tu as fait à cette jeune fille est dégoutant. Tu mériterais que moi et Bob on te fourre notre mattraque dans le cu comme tu as fait avec elle!
- vous... vous faites erreur.
- Tu crois vraiment, sale ta de merde!?

Un bruit de chaise qu'on repousse puis Nath fut étendu plier en deux sur la table alors que l'un des agents le retenait par ses menottes dans cette position. L'autre lui baissa son jeans.

- Et en plus il es nu cette enfoiré. C'est pour les violé plus facilement, hein?!
- non, ar!

Il sentit à ce moment la froideur et la dureté de la matraque contre ses fesse.

- Tu veux y goûter dit?

Puis il commença à lui enfoncer sans ménagement. Le pauvre garçon gigottait et gémissait. Le policier sortit ensuite sa mattraque puis l'entra à nouveau. Il recommença encore et encore jusqu'à ce que se soit trop facile.

- Il a le cu bien ouvert ce merdeux.
- Arrêter, laissez moi vous...
- t'a gueule!

il reçu alors un violant coup dans le dos.

- J'ai une idée!
- dit là.
- Y'a toujours la cage des pédé. Un garçon comme leur donnera je suis sur un plaisir fou.

Avec un sourire, le policier enleva le jeans du garçon. Il était complètement nu.

- Je me suis toujours demander si c'était la même chose qu'avec une fille.
- ba t'a qu'à essayer.

Pleurant, Nathaniel se fit violer par les deux policers à tour de rôle pendant plusieurs heures avant qu'on le conduise nu comme un verre, le cu en feu, dans le sous-sol, ou de nombreuse cellule très peupler étaient.

--> suite les cellules de la prison